En fait, les deux adresses précédentes constituaient un préambule à ce qui nous attendait avec mon ami Fulvio Pierangelini, ce cuisinier fabuleux que j'avais découvert à San Vincenzo il y a une dizaine d'années. Je lui avais consacré un roman, "Toscanes" (éditions Assouline). Depuis lors, nous nous voyons de temps à autres, si peu pour finalement se retrouver à Rome. Il s'occupe donc de la chaine de Rocco Forte dont l'hôtel de Russie à Rome.
Il était dix heures lorsque nous sommes arrivés dans les jardins fabuleux. Et là, Fulvio s'est éclipsé pour pondre trois plats d'enfer: sa passatina de gamberi, puis un poisson tout simple avec quelques champignons , des ravilois aux poivres et fromages, et puis une glace au café. Pouf, après je pouvais tomber dans les pommes, le bec parfumé au Meursault. ce n'etait pas sans compter sur un spectaculaire banquet qui m'attendait le lendemain à minuit, à la Villa Medicis, la reconstitution du banquet de Trimalchion !!! A demain pour le récit. (photos F.Simon).
Hôtel de Russie : via del Babuino, 9 I-00187 Rome (RM) +39 06 3288 8830 Map
radicchio
11 septembre 2009 at 12 h 23 minj’ai entendu ce matin sur France Inter, dans la revue de presse, quelques « mises en bouches » sur votre banquet de Trimalchion!
Ca faisait rêver.
Mise en scène et sensualité toute italienne… normal, no?
🙂
la flore et la faune
11 septembre 2009 at 13 h 49 minQue l’homme est peu de chose, hélas ! et de ses ans
Que la trame est courte et fragile !
La tombe est sous nos pas ; mais, dans leur vol agile,
Sachons, par le plaisir, embellir nos instants.
Claire
11 septembre 2009 at 13 h 52 minMon Dieu, le banquet de Trimalcion, rien que ça !! Impatience de vous lire !
Ratatouille
12 septembre 2009 at 12 h 24 minEst-ce que cela voudrait dire que ça vaut donc le coup, pour ceux qui n’ont pas eu le bonheur de goûter à la cuisine de Fulvio à San Vincenzo, de se rendre désormais au Restaurant de l’Hôtel de Russie ?
Syl
14 septembre 2009 at 0 h 22 minCoïncidences…
http://sylgazette.blogspot.com/2009/09/aperitivo-alla-romana.html
jacques perrin
14 septembre 2009 at 21 h 22 minUn très grand – dont je n’ai pas encore eu le bonheur de découvrir la cuisine. Grâce à vous, je sais où le retrouver…