Damas, le souk et sa douce féérie

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Immense soulagement, dans le souk, personne ne vient vous importuner. En une semaine, j'ai du être tapé une fois par un bambin me proposant des chewin gums. Aussitôt, un adulte l'a réprimandé vertement. Du coup, la visite des souks devient un vrai bonheur. On goûte le brassage coloré, les odeurs dans tous les sens, les regards qui balaient. Celui des hommes est franc et direct, humble et fier. Pas de faux semblant: on fouille l'âme. Celui des femmes est on l'imagine plus difficile à saisir car trop souvent voilé. Lorsque cela se produit, c'est troublant. Les regards volés sont ils plus forts que les regards offerts?

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  • Chrisos
    30 octobre 2009 at 11 h 36 min

    oui, ça change du Vietnam!

  • radicchio
    30 octobre 2009 at 16 h 48 min

    « Les regards volés sont ils plus forts que les regards offerts? »
    Assuremente…. Car ils laissent plus d’espace à l’immagination…
    Un peu comme un décolleté pas trop découvert mais pas trop couvert non plus et ainsi de suite…

  • Sunny Side
    30 octobre 2009 at 21 h 07 min

    Les odeurs oui … quelles odeurs ?

  • ESCAMPETTE
    3 novembre 2009 at 21 h 39 min

    Tiens le vendeur de thé est toujours là

  • Marrouche
    5 novembre 2009 at 11 h 52 min

    C’est de la « racine de réglisse ». C’est un jus très rafraichissant de réglisse toujours servi comme à l’époque Ottomane, avec le costume traditionnel et le « thermos » en cuivre, accompagné d’une sympathique mélodie de castagnettes!